1. |
Oublions
03:12
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Oublions
Ces moments
Où les mots
Sont des morsures ;
Ces instants
Où la tendresse
Cède le pas
A la colère.
Oublions
Ces départs
Qui séparent
Les cœurs ;
Ces moments
Où coulent
Dans nos veines
Le poison de l’absence.
Oublions
Ces départs
Qui séparent
Les cœurs ;
Oublions
Ces nuits
Où planent
L’ombre
De tes absences ;
Où le froid
Drape mon lit,
Où il brûle mon corps
Comme le marbre
En deuil.
Oublions
Ces larmes
A travers lesquelles
Se lit la souffrance.
Donne-moi la chance
De t’offrir plutôt
Des larmes
Où se confondent
Notre bonheur
Et nos espoirs
Et nos espoirs.
Oublions tout
Comme au premier jour.
Offre-moi ton pardon.
Pardonne-moi,
Pardonne-moi,
Oublions…
Grégory Picart - 2015
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2. |
Ton Absence
04:04
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Ma mère,
Je t’ai appelé,
Mais tu n’es pas revenue
De l’ombre.
J’ai crié ton nom
Mais seul le silence
S’est fait l’écho
De ma prière.
Maman,
Il y a une brûlure en moi ;
Elle ressemble à celle de ton absence.
Maman,
Je me souviens
De la couleur
De ta caresse
Elle ne ressemble plus
Qu’à la couleur de mes larmes,
Qu’à cette lumière volée à l’aveugle.
Maman,
Il y a une brûlure en moi
Maman,
Elle ressemble à celle de ton absence.
Maman,
Où est le temps
De nos doigts
Qui se croisent,
De l’étreinte de tes bras ?
Ta main est restée muette.
Ma mère,
Tes bras sont restés
Sans vie.
Maman,
Il y a une brûlure en moi ;
Maman,
Elle ressemble à celle de ton absence.
Maman,
Reviens ma mère.
Faut-il que la mort
Soit mon seul guide
Pour te revoir un jour ?
N’ai-je d’autre destin
Que celui de l’âme
Pour entendre encore
Une fois
Le son de ta voix ?
Pour entendre encore
Une fois
Le son de ta voix ?
Grégory Picart - 2015
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3. |
Je te jette au vent
04:11
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J'ai jeté tes belles lettres
Et j’oublie nos souvenirs
J'ai perdu ton odeur
Mon soleil est maintenant noir
Je ne crois plus en toi
Maintenant je marche seul
Et c'est mieux ainsi
Et c'est mieux ainsi
Ne reviens plus
J'ai passé trop de temps à t'aimer
Et toi à donner ce que tu avais
La douleur du passé
Parlons en du passé
Ton corps abîmé
Je l'ai reconstruit comme j'ai pu
Et maintenant…
De t'avoir menti
Tu m'as menti
J'ai respiré ce que tu as respiré
Et moi qui a respiré pour moi
Je n'attends plus rien de toi
En espérant que l'amour
Part plus vite que je t'ai aimé
Part plus vite…
Tu n'as jamais su embrasser ton destin
Et maintenant tu te réveilles
Et tu me jettes comme une fleur fanée...
Oui jeté
J'ai jeté tes belles lettres
Et j’oublie nos souvenirs
J'ai perdu ton odeur
Mon soleil est maintenant noir
Que deviennent nos prières
Et tes promesses passées
Je te jette au vent
Et qu'il t’emmène loin de moi
Ma main touchera un jour
Celle qui m'aimera
Et ses yeux lèveront le jour
Rien que pour moi
J'ai jeté tes belles lettres
Et j’oublie nos souvenirs
J'ai perdu ton odeur
Mon soleil est maintenant noir.
Pascal Bacquet - 2015
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4. |
Mourir
03:45
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Mourir, est-ce un chemin sans destin
Ou le baiser de Dieu.
Est-ce le temps de l’ombre
Ou celui de la lumière.
Mourir, est-ce le silence
Ou le chant de l’âme.
Est-ce les larmes
Ou est-ce la joie.
Mort, es-tu la chair
Qui tire sa révérence
Ou le règne de l’âme
Qui s’annonce.
Es-tu la tombe
Ou es-tu le ciel.
Mort, es-tu ce qui s’achève
Ou l’éternité qui prend son envol.
Es-tu le linceul
Ou l’aile de l’ange.
Mort, es-tu le temps
Qui vient demander son dû
Ou cette mère qui vient reprendre ses enfants
Parce que l’amour est un parfum
Que même le néant ne peut masquer,
Que même le néant ne peut masquer,
Que même le néant ne peut masquer,
Que même le néant ne peut masquer,
Que même le néant ne peut masquer,
Que même le néant ne peut masquer,
Que même le néant ne peut masquer…
Grégory Picart - 2015
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5. |
Des instants de mort
05:01
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Il y a des instants de morts en moi ;
Des moments où dans mon âme,
Le soleil croise la lune,
Où le chant côtoie le silence,
silence, silence,
Où la plaie croise le sourire, sourire.
Il y a des instants de morts en moi
Des moments où la mort rôde
Dans le cimetière de mes souvenirs.
Il y a des instants de morts en moi
Où le destin chante une sombre berceuse
Qui fait pleurer mon âme
De cette larme que l’on nomme le désespoir, le désespoir.
Il y a des instants de mort en moi
Des moments où la joie brûle
Comme le sel sur une plaie.
Il y a des instants de mort en moi, en moi,
Des instants de mort en moi,
Des cris mêlés aux larmes,
Une souffrance qui tutoie le néant.
Des instants de mort en moi
Une porte dont l’œil m’étreint le souffle.
Des instants de mort en moi
Dont la brûlure pourtant ravive
L’amour qui fait écho à l’âme, à l'âme,
Des instants de mort en moi
Et puis des parfums d’espoir, espoir,
Des parfums d’espoir, espoir,
Des parfums d’espoir, espoir…
Grégory Picart - 2015
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6. |
Enfance volée
03:26
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Cette enfance meurtrie par la guerre
Où la brûlure de la cendre
Remplace la chaleur du sable
Des bords de mer bercés par le bonheur.
Cette enfance, ce monde
Qui n’a d’autre loi que la violence,
Cette enfance où le poing écrase la caresse
Où la main ne se tend pas mais rejette.
Mon cri, c’est celui de l’enfance volée,
Celle de l’absence d’une mère,
Celle de ce ventre sans visage,
Celle de l’oubli d’un père,
Celle de ce bras qui n’est pas là
Pour protéger,
De cette épaule pas là
Pour nous porter.
Mon cri, c’est celui de l’enfance volée,
Celle où les blouses blanches résonnent
Dans la mémoire,
Parce que le mal nous ronge
Parce que déjà les jeunes années
Doivent côtoyer la souffrance
A un âge où l’innocence
Devrait faire écho à la vie.
Mon cri, c’est celui de l’enfance volée,
Dont jamais la plaie ne se referme,
Mon cri, c’est celui de l’enfance volée,
Où pour toujours,
L’âme reste un peu prisonnière.
Mon cri, c’est celui de l’enfance volée,
Mon cri, c’est celui de l’enfance volée.
Mon cri, c’est celui de l’enfance volée,
Mon cri, c’est celui de l’enfance volée.
Mon cri, c’est celui de l’enfance volée.
Grégory Picart - 2015
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7. |
Silence
03:51
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Silence, parce que l’on pleure,
Dans ce monde,
Silence, parce que l’on crie,
Dans ce monde,
Silence, parce que l’on meurt,
Dans ce monde,
Où les peuples ne sont plus que
Des peuples de larmes.
Dans ce monde,
Qui n’est plus
Qu’un long cortège de souffrances,
silence.
Où le deuil ose sourire aussi
Au cœur des enfants.
Silence, silence, silence.
Silence, parce que dans ce monde,
Au loin, on entend encore
Une pluie d’espoirs
Pour ceux qui s’aiment.
Pour ceux qui s’aiment.
Une pluie d’espoirs
Pour ceux qui s’aiment.
Grégory Picart - 2015
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8. |
Ecris moi
03:58
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Écris-moi,
Que pour moi,
Tu ne seras pas
Qu’un souvenir.
Écris-moi
Pour me dire
De t’attendre,
Que l’espoir
De te revoir
Ne m’est pas interdit.
Écris-moi
De ta plus belle écriture,
De celle où ta main
Est à l’écoute
De notre amour.
Écris-moi,
Aide-moi à porter
Tes silences,
Tes absences,
Au travers de tes mots.
Écris-moi
Pour me dire,
Que demain,
A mon réveil,
Je goûterai
Tes lèvres,
La chaleur
De ton corps.
Écris-moi,
Écris-moi que pour moi.
Écris-moi,
Écris-moi…
Picart Grégory - 2015
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9. |
Depuis
03:28
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Depuis que mon sourire
Ne trouve plus refuge dans tes yeux ;
Depuis que tes lèvres
Ne font plus écho a mes lèvres ;
Depuis que mes larmes
Ressemble à l’encre
De ta lettre d’adieu ui a signé ma solitude ;
Depuis que nos regards
Ne donnent plus chair au même espoir ;
Je porte en moi
La brûlure
De ton absence.
Je porte en moi
La brûlure
De ton absence.
Depuis que nos mots
Ne portent plus la marque
De notre amour ;
Depuis que le son
De ta voix ne ressemble plus
A ce chant
Qui faisait vibrer
L’élan de nos joies ;
Vibrer, vibrer...
Je porte en moi
La brûlure
De ton absence.
Je porte en moi
La brûlure
De ton absence.
Depuis que mes nuits
Ne sont plus peuplées
Que de songes
Et de mensonges,
Je sais que jamais
Ta chair ne connaîtra
En elle
Ce souffle que l’on nomme
Notre enfant.
Picart Grégory - 2015
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10. |
J'aime, Je t'aime
03:39
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J’aime ton sourire
Qui ressemble
A ces silences
Lorsque nos regards
Se croisent.
J’aime tes mots,
Parce qu’ils sont
Comme des perles
Qu’égrènent tes lèvres.
J’aime, je t’aime, je t'aime ;
J’aime la couleur
De tes yeux,
Cette lumière
Qui donne à mon âme
La force de sortir
De l’ombre.
Je t’aime, je t'aime, je t'aime ;
J’aime tes mains,
Lorsque nos doigts
Se croisent
Pour murmurer
Une prière
Qui scelle notre destin
Au-delà du monde,
Au-delà du temps.
Je t’aime, je t'aime ;
J'aime,
J'aime, je t'aime,
J'aime, je t'aime
J'aime, je t'aime...
Grégory Picart - 2015
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11. |
Ton enfance
02:23
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Le seul chemin
Que je connaisse,
C’est celui
De ton enfance ;
Celle qui porte en elle
L’encre de mes espoirs,
Celle qui dicte
Mon destin.
Le seul chemin
Que je connaisse,
C’est celui
De ton enfance ;
Celle dont les absences
Résonnent en moi
Comme le sel
Sur une plaie.
Le seul chemin
Que je connaisse,
C’est celui
De ton enfance ;
Celle qui console
Mon cœur,
Celle qui apaise
Mon âme.
Le seul chemin
Que je connaisse,
C’est celui de notre amour.
Le seul chemin,
C’est celui de notre amour.
Le seul chemin
Que je connaisse,
C’est celui de notre amour.
Picart Grégory - 2015
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12. |
Aimer
03:34
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Aimer, c’est donner
De l’âme à la chair.
Aimer, c’est faire des bras
D’une mère Le premier berceau
De l’innocence.
Aimer, c’est tendre la main
A celui qui tremble,
C’est rendre la lumière au jour.
Aimer, ce sont ces doigts
Qui se croisent
Comme la couture
De deux chairs
Unies l’une à l’autre.
Aimer, c’est le creux
De cette main
D’où naît cette perle
Que l’on dit d’amitié.
Aimer, c’est le chemin
Qui mène à l’âme,
C’est cette pluie
Qui apaise
Les brûlures du cœur,
Celles qui portent la marque de la solitude
L'angoisse quand l’œil
Porte le deuil du jour.
Aimer, c’est donner
De l’âme à la chair.
Aimer, c’est donner
De la chair à l’âme.
Aimer, c’est donner
De l’âme à la chair.
Aimer, c’est donner
De la chair à l’âme.
Picart Grégory - 2015
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13. |
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Tel un ange,
Tu dégages une énergie de bonheur,
Je t'aime
Quoi que tu fasses,
Où que tu sois, tu es présent en moi,
Je t'aime.
Lorsque tu déploies tes ailes
ta lumière m'éclaire,
Je t'aime
J'éprouve un bonheur sans
pareil quand je te regarde
Tel un soleil, tu réchauffes tout
autour de toi
Rien ne te résiste,
Même la glace fond en douceur
Tes yeux étincelant me laissent
sans voix
Tel une musique,
Tu rythmes les battements de mon cœur
Je me laisse emporter dans tes
bras et je rêve
Ton charme subtil et irrésistible,
Je t'aime
Ton amour pour moi me
comble,
je ne demande pas plus de toi,
Je t'aime
Tu es mon soleil
Celle qui éclaire mes jours et
mes nuits,
je t'aime
Tu es mon éternel
Celle tant recherché
Tu es mon souffle
Celle qui me redonne la vie
Je ne vis pas sans toi
Car tu es tout pour moi
Ma vie sans toi ?
Je n'y pense même pas !
Je ne sais pas comment elle sera.
Mais pas grand-chose en tout cas
Promets moi, mon amour
Que jamais tu me quitteras
Que jamais tu me laisseras
Promets le moi !
Car sans toi
Je ne vivrais pas
Je ne vis que pour toi
Pour toi seul
Je t'offre ma vie
Alors prends-la
Car elle est à toi,
Car elle est à toi...
Pascal Bacquet - 2016
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